Les mots « fête » et « festin » apparaissent (à de nombreuses reprises) tant dans l’Ancien que dans le Nouveau Testament.
On peut noter l’importance donnée aux fêtes dans le judaïsme :
elles consistaient en des rassemblements pour célébrer avec réjouissances, notamment des événements où le peuple avait été l’objet d’interventions miraculeuses de Dieu ; de génération en génération on commémorait ensuite ces merveilles.
La vie avec Dieu devrait donc être une vie de fête, une commémoration permanente des merveilles de Dieu d’autant que « le cœur content est un festin perpétuel » (Proverbes 15/15).
• Une fête en l’honneur de Dieu et de Christ à l’image du mariage qui devrait être une fête permanente ;
• Une fête autour de la Parole de Dieu tant dans nos assemblées (Néhémie 8/3 et 9 à 12), qu’à la maison lors du culte de famille (Deutéronome 6/7) ;
• Une fête lorsqu’un pécheur se repent, « Le geôlier se réjouit avec toute sa famille de ce qu’il avait cru en Dieu » (Actes 16/34).
C’est ainsi que participer aux réunions d’évangélisation devrait être une fête pour tous !
• Une fête pour célébrer les victoires
obtenues, en en rendant témoignage à toute l’Eglise ;
• Une fête lors de nos cultes, autour de la table du Seigneur où nous proclamons notre foi dans le retour de Christ qui nous introduira dans une fête éternelle :
« L’Eternel prépare un festin de mets succulents »
(Esaïe 25/6).
« Heureux ceux qui sont appelés au festin des noces de l’Agneau ! » (Apocalypse 19/9).
Si seulement ce modeste feuillet pouvait vous mettre l’eau à la bouche, vous communiquer l’envie de vivre ces choses!
Bernard Kowalczyk